Les années se suivent et se ressemblent. Avec l’arrivée des beaux jours, c’est une nouvelle augmentation des impôts qui vient frapper les toulousains.
Même si il avait été annoncée, ce nouveau coup de massue vient alourdir le matraquage fiscal imposé par la droite toulousaine et Jean-Luc Moudenc depuis son arrivée au Capitole.
En clair, les parts métropolitaine de la taxe d’habitation et de la taxe sur le foncier bâti vont connaître une nouvelle augmentation : + 7, 5 %
Elle s’ajoute au + 7, 5 % de l’année dernière, au + 15 % de la ville e Toulouse, au + 9 % de la Cotisation Foncière des Entreprises, aux multiples hausses de tarifs, … .
Cette nouvelle augmentation brutale n’est justifiée ni par la situation financière ni par un montant d’investissement en adéquation avec l’effort demandé aux contribuables.
En fait, par principe, par idéologie, presque par réflexe, Jean-Luc Moudenc constitue un bas de laine. Pourquoi faire mystère ? Tel Harpagon et sa cassette de dix mille écus d’or il amasse, il remplit les caisses alors que le rôle d’une collectivité est d’investir, de redistribuer, de faire preuve de solidarité en soutenant les plus précarisés.
Jeudi dernier, lors du conseil communautaire maire de Toulouse a pourtant fait une confidence : « si la situation s’améliore, je ferais baisser les prélèvements ».
Traduction, en 2019, un an avant les élections municipales qui marqueront la fin de son mandat, notre feuille d’impôts sera revue à la baisse : sans commentaire … .