7 octobre 2024… un an après l’attaque terroriste du Hamas contre Israël. Ce jour-là, des crimes inhumains ont été perpétrés : des enfants et des personnes âgées brutalement assassinés, des femmes violées, une jeunesse entière décimée par des sauvages…
7 octobre 2024… un an après l’attaque terroriste du Hamas contre Israël. Ce jour-là, des crimes inhumains ont été perpétrés : des enfants et des personnes âgées brutalement assassinés, des femmes violées, une jeunesse entière décimée par des sauvages… plus de 1 200 victimes et 7 500 blessés. 251 otages ont été pris ce jour-là.
Rien, jamais, ne saura justifier ces actes terroristes. Ils ne peuvent en aucun cas être relativisés, ni dans leur gravité, ni dans la menace qu’ils font peser sur l’existence même de l’État d’Israël et, au-delà, sur nos propres démocraties.
C’est pourquoi le combat contre le terrorisme doit se poursuivre inlassablement, mais il doit aussi s’inscrire dans le cadre du droit international, du respect des frontières et des résolutions de l’ONU.
Aujourd’hui, un an après, comme tous les jours, il faut exiger la libération inconditionnelle de tous les otages encore détenus par le Hamas, dont nos compatriotes Ofer Kalderon et Ohad Yahalomi.
Comment ne pas penser également aux civils palestiniens et libanais, victimes eux aussi de cette violence interminable ? Le gouvernement de Benjamin Netanyahu, depuis cette attaque, a mené une riposte qui a causé la mort de plusieurs dizaines de milliers de victimes innocentes dans ces territoires, exacerbant la douleur et la souffrance des peuples de la région.
En France, les actes antisémites se multiplient.
Soyons clairs : il n’est pas acceptable, en 2024, d’avoir peur d’être juif. L’antisémitisme, qu’il s’exprime sous n’importe quelle forme, n’est pas une opinion. C’est un délit et une attaque directe contre la République. Chaque citoyen, quelle que soit sa religion ou ses convictions, doit pouvoir vivre en paix et en sécurité sur notre sol.
En ce jour de commémoration, tous les vrais républicains réaffirment leur soutien indéfectible aux Israéliens, mais aussi aux Palestiniens et aux Libanais qui cherchent, avec sincérité, un chemin vers la paix.
La seule solution à ce conflit reste celle de la coexistence pacifique de deux États : un État palestinien et un État israélien, vivant côte à côte, en sécurité, dans le respect des frontières et des droits de chacun.
Le 7 octobre restera un jour sombre. Il doit aussi être un jour d’espoir : faire cesser cette spirale de la violence et permettre aux forces de la paix de s’imposer enfin.