Cela devient lassant. Impossible de lire une déclaration ou d’écouter un nouvel élu du Capitole sans entendre la ponctuation désormais obligatoire « les caisses sont vides ».

Les éléments de langage ont été bien appris. Des preuves ? Aucunes ! Des explications ? Plus tard ! Des éléments chiffres ? Nous verrons !
Il « manque 100 millions d’euros pour boucler le budget 2014 »  explique même le nouveau maire UMP de Toulouse.
La ficelle est si grosse qu’elle se transforme en corde : abandon de la Maison de l’Image, suppression de TLT, abandon du tramway aérien, suppression des projets culturels, … pourquoi ne pas assumer ses choix politiques plutôt que d’en imputer la genèse à un supposé contexte financier ?
Peut-être tous simplement pour amorcer le prochain renoncement à un catalogue de promesses électorales que l’on sait irréalisable et infinançables ?
Les supporters du nouveau pouvoir municipal vont dire que je suis caricatural ? Pourtant les faits sont-là. Indiscutable eux.